Simonetta Greggio and Frédéric Lenoir have created this two-handed novel as an immersion in the intransigence and simplicity of the love we look for all our lives, and that we sometimes find only at the very beginning.
Simonetta Greggio is Italian and writes in French. She has written five novels published by Stock, including La douceur des hommes (2005), Dolce Vita 1959-1979 (2010) and L’homme qui aimait ma femme (2012).
The philosopher and writer Frédéric Lenoir hosts a weekly show, Les Racines du ciel for France Culture. He has written some thirty books, including five novels that have been translated into twenty languages. His latest successes include: L’Ame du monde (NiL), Petit traité de vie intérieure (Plon) and La guérison du monde (Fayard).
Adrien est un quadragénaire parisien, célibataire et sans enfants. Il a perdu le goût de vivre et décide, un soir, de se suicider. Il écrit son testament ainsi qu’une dernière lettre destinée à Nina, la femme de sa vie, la seule qu’il ait aimée d’un amour passionné et inconditionnel.
Nina et Adrien étaient des enfants lorsqu’ils se sont rencontrés. Les souvenirs de leurs vacances d’été passées à Ravello, le joyau de la côte amalfitaine, remontent par vagues à la mémoire de Adrien. Repoussant son suicide d’un soir, puis d’un autre et encore d’un autre, il les met par écrit dans cette longue lettre à Nina, qui devient, au fil des nuits, la bouleversante déclaration d’amour qu’il n’avait jamais osé faire à la jeune Italienne. Adrien avait toujours rêvé de devenir écrivain. Il lui aura fallu attendre cet instant ultime pour oser écrire. À bout de forces mais apaisé, il avale un mélange de médicaments et tombe dans un coma profond. Il ne se doute pas que ses mots vont bouleverser plusieurs existences : celle de Nina d’abord, mais également celle de tous ceux qui, de près ou de loin, vont être touchés par son écriture.
Simonetta Greggio et Frédéric Lenoir signent ce roman à quatre mains pour plonger dans l’absolu et la simplicité de l’amour qu’on cherche toute sa vie et qu’on ne trouve, parfois, qu’au tout début.