Dans ce troisième volume de La grande intrigue, on retrouve Louise Herdoin et Nicolas Rubien, les cousins amants, au QG de campagne d’un candidat à la présidence de la République, un dimanche d’avril 2002 de sinistre mémoire.
Au cours de l’été 2005, Christophe Herdoin, le frère de Louise, perd son ombre sur une plage vietnamienne. En 1976, on apprend la mort de Pauline Doni, d’une péritonite aiguë. On n’avait plus de nouvelles depuis son installation à Paris avec son époux dans les années 1920. On découvre alors qu’elle a mené une vie bien différente de ce qu’on aurait osé imaginer.
Enfin, à l’automne 2009, Athanase, le jeune Africain qui travaille à Bruxelles, sait qu’il ne terminera pas sa thèse sur les Bantamas, son ethnie d’origine. Il décide alors d’écrire un roman. Il sera Sobel l’écrivain.
Il n’y a personne dans les tombes est un roman foisonnant où les vies s’entrecroisent, révélant les mystères intimes et les désirs étouffés dans une société de plus en plus normative. François Taillandier replace l’individu dans une histoire qui n’oublie pas les mythes anciens qui l’ont constitué. Architecture, religion, économie, littérature, en pleine mutation explosent dans ce récit multiple et mordant. Il joue avec les ruptures de style, dévoile les impostures des jargons et des codes institutionnels pour créer une langue pleine d’invention et de saveur.
Au cours de l’été 2005, Christophe Herdoin, le frère de Louise, perd son ombre sur une plage vietnamienne. En 1976, on apprend la mort de Pauline Doni, d’une péritonite aiguë. On n’avait plus de nouvelles depuis son installation à Paris avec son époux dans les années 1920. On découvre alors qu’elle a mené une vie bien différente de ce qu’on aurait osé imaginer.
Enfin, à l’automne 2009, Athanase, le jeune Africain qui travaille à Bruxelles, sait qu’il ne terminera pas sa thèse sur les Bantamas, son ethnie d’origine. Il décide alors d’écrire un roman. Il sera Sobel l’écrivain.
Il n’y a personne dans les tombes est un roman foisonnant où les vies s’entrecroisent, révélant les mystères intimes et les désirs étouffés dans une société de plus en plus normative. François Taillandier replace l’individu dans une histoire qui n’oublie pas les mythes anciens qui l’ont constitué. Architecture, religion, économie, littérature, en pleine mutation explosent dans ce récit multiple et mordant. Il joue avec les ruptures de style, dévoile les impostures des jargons et des codes institutionnels pour créer une langue pleine d’invention et de saveur.