« Quand les sirènes des pompiers ont remplacé le silence de la nuit, quand j’ai senti leur présence d’hommes, je suis partie. J’ai fui sans me retourner. Puisque parler n’avait servi à rien, mes mots mêmes auraient pu se retourner contre moi. Après avoir ignoré mes avertissements, il s’en trouverait bien pour m’en vouloir de ne pas avoir été assez convaincante. Ou : faire de moi la coupable, l’incendiaire. »
Alexandra revient dans sa ville natale pour travailler dans l’usine de produits chimiques en plein développement. Elle y restera neuf mois, avant de disparaître.
C’est l’histoire d’une femme qui voit venir le danger, une si petite chose d’abord, à peine perceptible. C’est l’histoire d’une femme qui tente de prévenir et que personne n’écoute.
C’est aussi l’histoire de celles et ceux qui n’ont rien entendu, rien vu, rien compris. Mais le voulaient-ils ?
Constance Rivière signe un roman implacable sur la puissance de la parole, et son impuissance.
Alexandra revient dans sa ville natale pour travailler dans l’usine de produits chimiques en plein développement. Elle y restera neuf mois, avant de disparaître.
C’est l’histoire d’une femme qui voit venir le danger, une si petite chose d’abord, à peine perceptible. C’est l’histoire d’une femme qui tente de prévenir et que personne n’écoute.
C’est aussi l’histoire de celles et ceux qui n’ont rien entendu, rien vu, rien compris. Mais le voulaient-ils ?
Constance Rivière signe un roman implacable sur la puissance de la parole, et son impuissance.