« J’aime le vin parce qu’il m’est étrange, parce qu’il m’est familier, parce qu’il est incompréhensible et fabuleux. J’aime le vin parce que je ne peux m’empêcher d’aimer les hommes.
Dans ma cave, il n’y a pas de vin. Il n’y a que d’heureuses espérances. »
Dans ma cave, il n’y a pas de vin. Il n’y a que d’heureuses espérances. »
J.-C. Pirotte
Si l’ombre et la mort planent dans ce magnifique récit posthume, on n’y ressent nulle plainte, on est invité à la célébration du paysage et du souvenir chers à l’auteur.