« Je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai vécu lors de ce bureau politique de l’UMP le 27 mai 2014. Ce jour-là, j’ai touché la haine du doigt. Pour ramener la paix, il fallait un bouc émissaire. Et le bouc émissaire, pas de chance, c’était moi ! »
Non, ce livre de Jean-François Copé n’est pas un plaidoyer pour lui-même. C’est le fruit d’un travail de résilience – du silence et du fond – pour une reconstruction, la sienne, et surtout celle d’un pays qu’il aime passionnément, la France.
En perdant presque tout, l’ancien ministre, l’homme pressé, le chef de parti, qu’on a si souvent caricaturé, a recouvré un bien fondamental, la liberté. Alors, il voyage à travers le pays, va à la rencontre des Français, et revient aujourd’hui, différent et plus proche.
Il a vu la France des « boucs émissaires » et des « pointés du doigt ». Sans a priori, il a écouté les Français. Il en est revenu avec deux mots clés : la bienveillance et le pragmatisme. Jean-François Copé pose ici, avec calme et fermeté, un diagnostic et formule des propositions audacieuses. Car il en est certain, le temps est venu du Sursaut français.
Non, ce livre de Jean-François Copé n’est pas un plaidoyer pour lui-même. C’est le fruit d’un travail de résilience – du silence et du fond – pour une reconstruction, la sienne, et surtout celle d’un pays qu’il aime passionnément, la France.
En perdant presque tout, l’ancien ministre, l’homme pressé, le chef de parti, qu’on a si souvent caricaturé, a recouvré un bien fondamental, la liberté. Alors, il voyage à travers le pays, va à la rencontre des Français, et revient aujourd’hui, différent et plus proche.
Il a vu la France des « boucs émissaires » et des « pointés du doigt ». Sans a priori, il a écouté les Français. Il en est revenu avec deux mots clés : la bienveillance et le pragmatisme. Jean-François Copé pose ici, avec calme et fermeté, un diagnostic et formule des propositions audacieuses. Car il en est certain, le temps est venu du Sursaut français.