Socialismes et émancipation sensuelle sont-ils compatibles ?
C’est à cette épineuse question que Thomas Bouchet tente de répondre en passant au crible du plaisir des sens deux siècles d’histoire des socialismes français. Depuis les harmonies sensuelles de Charles Fourier jusqu’au socialisme gouvernemental et pâlot d’aujourd’hui, via les colonies libertaires de la Belle Époque, les colonnes de L’Humanité ou encore les fêtes de Lutte ouvrière, deux tendances s’opposent : d’un côté, dominants, des socialismes anguleux adeptes de l’ascèse militante ; de l’autre, minoritaires, des socialismes tout en rondeurs qui intègrent la bonne chère, la fête et l’amour à leurs programmes.
Un parcours étonnant et inédit, au terme duquel se dessine une autre histoire des socialismes.
C’est à cette épineuse question que Thomas Bouchet tente de répondre en passant au crible du plaisir des sens deux siècles d’histoire des socialismes français. Depuis les harmonies sensuelles de Charles Fourier jusqu’au socialisme gouvernemental et pâlot d’aujourd’hui, via les colonies libertaires de la Belle Époque, les colonnes de L’Humanité ou encore les fêtes de Lutte ouvrière, deux tendances s’opposent : d’un côté, dominants, des socialismes anguleux adeptes de l’ascèse militante ; de l’autre, minoritaires, des socialismes tout en rondeurs qui intègrent la bonne chère, la fête et l’amour à leurs programmes.
Un parcours étonnant et inédit, au terme duquel se dessine une autre histoire des socialismes.