C’est le retour au roman de Marie Billetdoux, un roman où courent la sève et la fièvre de la jeunesse, une jeunesse du début des années 50, assoiffée de poésie, de littérature, dans un Paris méconnaissable au cœur de ce Quartier latin dont on a presque oublié le nom, la magie, le parfum. Jean La Haut, 21 ans, Lim Houang-Ho, 20 ans, Sorbonne, rue d’Ulm, amitiés, chambres de bonne, fontaine au bout du couloir, mots sous la porte, l’amour, le catholicisme, Paul Valéry, Mallarmé, l’encens, la France, les vieilles dames, la campagne, l’attente de l’avenir… et chez tous, sans cesse, la peur au ventre de manquer sa vie !
Si vous entendez dire qu’après la publication de C’est encore moi qui vous écris Marie Billetdoux a tenté le pari fou, incroyable, d’une réplique romanesque de son œuvre monstre, croyez-le, c’est vrai.
Si vous entendez dire qu’après la publication de C’est encore moi qui vous écris Marie Billetdoux a tenté le pari fou, incroyable, d’une réplique romanesque de son œuvre monstre, croyez-le, c’est vrai.